Et bienvenue pour le dernier volet de Mondo Reverso Bné Brak - du moins jusqu'à ce que j'aie une nouvelle idée.

Petit rappel, cette série reprend l'idée de la bande dessinée d'Arnaud Le Gouëfflec et Dominique Bertail de faire jouer aux femmes les rôles des hommes et aux hommes les rôles des femmes, mais cette fois dans le monde de la ville israélienne ultra-orthodoxe de Bné Brak.

Dans ce dernier strip, un jeune homme est amoureux d'une jeune fille. Mais rien n'est si simple.

J'aurai eu du mal à le sortir celui-là! Voici le 4ème et avant-dernier volet de la série Mondo Reverso Bné Brak. Les femmes continuent à avoir le rôle des hommes, et les hommes celui des femmes, dans une ville de Bné Brak matriarcale et improbable.

Aujourd'hui, les fidèles apprécient le nouvel agencement intérieur de leur synagogue. Tout est fait pour que les dames comptant pour le minyan aient leur confort. Cool.

Petit rappel pour ceux et celles qui prennent le train en route. Mondo Reverso, c'est à la base un western sous forme de bande dessinée, dans lequel les femmes jouent le rôle des hommes et les hommes jouent le rôle des femmes. Et voici le troisième opus de mon Mondo Reverso à moi, transposé dans le monde ultra-orthodoxe de la ville de Bné Brak (Israël).

OK. On rappelle le principe du Mondo Reverso? Un prend une situation, et on inverse les rôles: les hommes prennent le rôle des femmes, et les femmes prennent le rôle des hommes. Ici, on est toujours dans le monde juif ultra-orthodoxe de la ville de Bné Brak.

Mondo Reverso est à l'origine une bande dessinée d'Arnaud Le Gouëfflec et Dominique Bertail, publiée dans la collection Fluide Glacial des éditions Audie. Le principe est simple: c'est un western dans lequel les femmes jouent le rôle des hommes et les hommes jouent le rôle des femmes. Des sheriffes indomptables poursuivent ainsi des desperadettes ou ont maille à partir avec les Indiennes et leur cheffe Sitting Cow pendant que les hommes tiennent tranquillement leurs foyers et élèvent leurs enfants.

J'ai eu envie de reprendre ce principe, mais dans le monde particulier de Bné Brak, haut lieu du judaïsme ultra-orthodoxe. Les hommes prennent la place des femmes et les femmes prennent la place des hommes...

Rebonjour! Allez, après un an d'absence, je redémarre tranquillement. Avec ma chère Cerise qui a toujours 35 ans et qui n'a toujours pas trouvé le prince charmant... Avec sa copine Mélissandre, la voilà qui s'essaie une nouvelle fois à la drague 2.0.

Cerise fait partie des quatre 35enaires dont je raconte les anecdotes, avec Suzette, Paul et Adam. N'hésitez pas à leur faire un petit coucou ici.

Sans aucun commentaire, à part un profond dégoût pour ces salopards qui ont appris en Syrie à imposer leur vision d'Allah à l'arme lourde.

Désolée pour la violence de l'image, mais elle a été faite cash et sur un coup de sang.

11- Les fringues qui te plaisent tu adopteras (et sur les règles foireuses tu t'assiéras)

C'est mon ami Stéphane (qui se reconnaîtra) qui m'a proposé ce dernier dessin pour clore la série des Merveilleuses Rondes. Au delà du côté politiquement correct, le commandement est tout à fait valable, puisqu'il est bien connu que les fringues qui nous vont le mieux sont celles dans lesquelles ont se sent le mieux.

Sincèrement, qui n'a jamais croisé une fille (ou un gars) avec un look franchement improbable, mais qu'elle (ou il) assume tellement bien qu'elle (ou il) paraît rayonnant(e) dedans? Et à l'inverse, les habits les plus somptueux peuvent ressembler à des torchons si la personne qui les porte manque de confiance, ne se reconnaît pas en eux ou les porte mal.

Donc si on adore toutes les fringues que j'ai soigneusement rangées au placard précédemment, si on craque pour les shorts, on fond pour les minijupes, si les jabots, les froufrous et les boléros nous rendent dingues, si on vendrait notre âme pour un crop T-shirt et des collants imprimés fantaisie... 

... Ben on fonce.

Dépassez, mais surtout que ce soit à droite!

Oubliez ce machin inutile qui s'appelle le code Rousseau, en Ile-de-France, sur les routes à plus de deux voies, on dépasse à droite. Et comme on est un bon Parisien, on n'oublie pas que même comme ça, on reste prioritaire par rapport au clampin cahotant sur la voie de gauche, même s'il devait avoir l'idée saugrenue de vouloir se rabattre.

Si on est une bagnole, le corollaire est simple: le clampin, on ne le laisse pas passer. On le double à droite, on n'en a rien à f...tre que sa sortie soit à vingt mètres et pour le fun, on reste un peu dans son angle mort, histoire de pouvoir éventuellement lui coller une belle frousse en plus.

Si on est une moto, c'est encore plus marrant. On arrive à toute berzingue en excès de vitesse, et on double le clampin à droite en ce fichant royalement qu'il ait mis son clignotant depuis au moins trente secondes et qu'il ait commencé sa manoeuvre pour se diriger vers la voie de droite. Les Parisiens en deux-roues sont invulnérables aux chocs, suffit de voir les statistiques.

10- Les gilets longs tu affectionneras

Cette silhouette est un hommage à une ancienne collègue, une superbe jeune fille aux courbes généreuses et à la longue chevelure brune et bouclée, qui affectionnait particulièrement les longs gilets sombres et flous. Sans grand intérêt pour celles qui préfèrent les jupes et les robes, le gilet cape prend tout son sens avec un pantalon ajusté et des bottes. Il auréole la silhouette d'un mystère brumeux et donne une grande touche de féminité un peu sombre à une tenue somme toute basique.